Voilà, notre 39ème Assemblée Générale terminée et nous pensons déjà à la prochaine, ce sera la 40ème donc et à particulièrement bien soigner ; ce sera donc le quarantième anniversaire du club !
Comment c’est passé cette AG ? Ben un peu comme les précédentes ; accueil des copains, présentation des nouveaux adhérents, présentation des membres du CA (l’an prochain nous ferons un « trombinoscope ») et présentation des activités principales du CMSM. Nous avons accueilli nos amis CHIMORLAN, avec lesquels nous avions roulé fin août et en plus ils étaient chargé d’amené le Beaujolais !
Les activités passées et à venir des marcheurs sont présentées par Dédé et celles des cyclos par Daniel. Le tout animé par un diaporama bien illustré par Jean-Paul B. Les comptes sont présentés par Jean-Paul V et le tout approuvé par un vote à mains levées. Nous avions à réélire également des membres sortant du CA et à élire une nouvelle candidate, Françoise BONNIER, qui se présente au suffrage des adhérents. Ces élections se font à bulletins secrets et même pour cette élection je ne parle pas des scores qui avoisinent ceux des pays totalitaires ; nous avons frôlé l’unanimité ! Les « Féminines » ont également une tribune et Marie-Claude TRILLAT a rappelé les différentes actions de cette année et de l’année à venir.
J’ouvre toujours un volet « sécurité, assurances, etc. », sujet qui ne passionne pas les foules mais que je pense obligatoire en regard des responsabilités qui nous incombent à nous civilement et pénalement responsables du club. Pourtant quelques questions ont fusées sur l’application des nouvelles gouvernances du sport, sujet évoqué mais sur lequel je n’ai pas encore toutes les réponses.
Le moment, à mon sens le plus important, est la remise des trophées et même si je l’ai bien préparé, si j’ai demandé de l’aide cette année, une boule se forme au niveau de l’estomac, monte dans la gorge et embue les yeux ! Nous avons attribué cette année le trophée « Louis POYARD » à Elisabeth GAILLARD et le trophée « Louis MANDRIN » à Jean-Louis VERNAY.
Nous avons gagné du temps sur l’intervention des personnalités ; il n’y en avait pas ! Nous avons pu pousser un peu les chaises, avancer les tables et attaquer l’apéro ; rite barbare sans lequel aucune réunion digne de ce nom ne saurait s’achever.
A la fin du repas, pris ensemble dans une grande convivialité, les beloteurs sont entrés dans l’arène et difficilement nous pouvions enfin fermer la salle des fêtes un peu avant 20h.
Auguste
