En tant que nouvel arrivant dans le club, Auguste m’a demandé de commenter mes impressions et de formuler mes critiques concernant notre randonnée ST Martin – Toulouse. Il m’a précisé » tu n’utilises pas de superlatifs comme super – extraordinaire - merveilleux et j’en passe et des meilleurs, ça ferait faux cul », donc vous ne lirez pas dans les commentaires qui suivent de superlatifs.
Tout d’abord pour celles et ceux qui ne me connaissent pas je me présente : Daniel Fahy je suis né en 1956 à ST Martin en Haut où j’habite depuis juin 2015 (encore un retraité ça ne va pas faire baisser la moyenne d’âge dans le club). J’ai fait parti du club de St Martin au moment de sa création en 1980 et l’ai quitté en 1983 et de nouveau je suis de retour aux sources depuis janvier 2016.
Mais revenons à ce qui vous intéresse : notre randonnée commence dans la bonne humeur et je suis bien accueilli par tout le monde, de ce fait je me sens vite à l’aise parmi vous.
Le parcours tracé par Hélène et Jean Marc en 4 étapes est bien élaboré c’était (……..)* ha si j’ai cherché pendant 2 jours et 2 nuits une critique ; j’ai juste trouvé une question à leur poser « Pourquoi avaient ils prévu tout au long du parcours (durant 3 jours) un vent violent de face, capable d’arracher une serre de jardin ? » Et pourtant nos 2 Hélène ont roulé face au vent sans se plaindre, sans dire un mot désagréable… si si Messieurs ça existent, elles sont vraiment (…….) **
J’ai constaté aussi que nous avons roulé à allure modérée, cela me va très bien. Robert a bien tenté de faire chauffer sa prothèse une fois ou deux, mais une petite douleur l’a vite rappelé à l’ordre.
Par contre bizarrement j’ai souvent entendu la même phrase qui revenait souvent au sommet d’une bosse ou après un regroupement. « Allez on y va » Comme je suis nouveau, certains m’ont expliqué qu’une personne utilisait souvent cette expression. Par discrétion je ne citerai pas de nom.
L’assistance et le ravitaillement étaient au (……..)*** une petite critique il faut bien que j’en fasse une ! Il manquait peut être un petit cubi de rouge et de rosé avec une petite table pliante, mais j’aurais pu y penser moi aussi. J’arrête là les remarques, car vous allez penser le nouveau est à peine arrivé qu’il commence déjà à nous casser les (…….) ****.
Donc un grand merci à vous tous, j’ai beaucoup apprécié votre sympathie, votre convivialité et votre gentillesse tout au long de notre voyage. Pour résumer je me sens bien parmi vous.
Maintenant je laisse le soin à Auguste de vous raconter notre périple au pays de Claude Nougaro, il le fera beaucoup mieux que moi.
Daniel
* Souvenez vous je ne doit pas utiliser de superlatifs.
** Elles mériteraient plusieurs superlatifs.
*** Même là, pourtant ça serait amplement mérité.
**** les pieds, je sais vous pensiez à autre chose